
La vraie raison de notre angoisse
« Nous [les naturalistes] tentons de ne pas passer pour des hurluberlus, à nos yeux et à ceux de la Société, en camouflant notre angoisse à voir disparaître la nature en peur de mourir de faim… Mais, si l’on nous démontrait que le refoulement de la nature peut continuer sans dommage économique, nous ne serions pas